Oh la vache !
Hier matin, une folle envie de prendre l’air et d’aller marcher derrière chez mes parents me prit. Rien de bien étonnant. J’ai toujours envie d’aller sur ces petits chemins qui jouxtent leur maison. Ma foi, vers 11h00, me voilà partie pour quelques minutes. Je trouve mon arbre, évidemment, qui se déploie dans le ciel mitigé.
Puis une vache. Une vache que je trouve très jolie avec ses taches marron éparses.
Denis et moi décidons alors de marcher un peu dans un champ, histoire de crapahuter dans l’herbe. Il me dit « Allons vers les vaches ! ». C’est qu’il devait aussi la trouver jolie, cette vache. Dois-je m’en inquiéter ?
Autour de nous la campagne accuse la fin de l’automne. Les arbres sont de plus en plus dénudés et les Pyrénées affiche déjà leurs premiers coriaces manteaux neigeux.
Nous retrouvons notre belle vache qui se demande probablement, à ce moment là, ce que deux personnes peuvent bien venir faire par là !
Une autre vache vient se mêler au tableau. Elle n’a pas l’air commode. Je dirai même que … ah mais elle nous fonce dessus ? Cours cours cours !!!! Elle n’aurait pas pu nous atteindre avec le fossé qui la séparait du champ qui était entre elle et nous, mais tout de même, une vache à la charge, ça n’a, je vous l’affirme, rien de rassurant !