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Gersicotti ? Gersicotta !
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Gersicotti ? Gersicotta !
27 janvier 2010

Pau c’est beau, et le concours internet Céça aussi !


Alerte, alerte, l’auteure de cet article très long décline toute responsabilité si plongés dans sa lecture vous cramez votre steak, brûlez votre poulet, oubliez un rendez-vous, êtes en retard au boulot …liste non exhaustive…ça sera pas faute de vous avoir prévenus !




Pau, Beau, à deux lettres près, c’est kif kif pareil la même chose ! Figurez-vous que Vendredi 22 Janvier, journée climatiquement excellente, je me suis rendue à Pau. Et pourquoi Pau ? Et pourquoi pas ? J’avais reçu quelques temps auparavant une invitation officielle pour faire partie du jury de la seconde session du concours internet Céça  consacré à la vidéo. J’avais en Mai 2009, remporté, grâce à Gersicotti Gersicotta, le prix territoire et  1500 € de surcroit



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Tenez d’ailleurs, en parlant de 1500 €. Je continue peu à peu à les investir pour ce blog , la semaine dernière j’ai eu l’occasion d’acquérir un dictionnaire de gascon (qui va m’être très utile pour compléter mes extrapolations onomastiques sur les toponymes gersois ! ) ainsi qu’un gros livre très simplement intitulé « Gers », co-écrit par de grands auteurs qui publient beaucoup de livres documentaires sur le Gers tels Gilbert Sourbadère ou Georges Courtès.



 

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J’étais donc invitée à faire partie du Jury. Très excitant tout cela ! Ma conscience féminine a commencé à me chatouiller d’une terrible question existentielle : « Mais comment est-ce que je vais m’habiller ? ».


Tout un processus de réflexion a été mis en place et j’ai réuni autour de moi une cellule de crise pour résoudre le problème : ma mère et ma meilleure copine. Et puis, c’est un grand rôle que de faire partie d’un jury, il fallait que je laisse au placard mes atours de paysanne, mes grosses chaussures de marche pleine de boue et mes vêtements de randonnées. Moi, je voulais avoir la classe, du genre talons, jupe tailleurs, léger pull et sautoir, maquillage et brushing, comme les femmes, les vraies. C’était pas gagné mais j’avais donc trouvé l’accoutrement qui me semblait être idéal pour cette soirée du 22 Janvier 2010. Ouais.



Et donc vendredi matin, infidèle à mon horloge biologique, je ne me suis levée qu’à 8h20…après tout, le vendredi, comme c’est mon jour de repos, c’est permis ! J’avais le temps de me préparer car j’étais attendue à 18h30 à Pau –et Pau c’est beau ! – et j’avais environ 1h30 de route.



Mais mais mais, pour commencer, ce n’est pas souvent que je vais à Pau et on m’avait souvent dit « Pau, c’est beau ! ». Alors je m’étais décidée à y être pour 14h parce que je voulais visiter un peu, découvrir, prendre des photos et évidemment vous en faire un reportage. Et puis arriver en début d’après-midi allait m’éviter les embouteillages citadins des heures de pointes dont je n’ai plus l’habitude depuis que je vis en pleine campagne gersoise. Motivée par l’idée de cette visite, j’ai mangé à 11h, j’ai fini de me préparer, habillage, maquillage, brushing raté… à 12h10 je partais, ratant même la fin de « Tout le monde veut prendre sa place » c’est dire !



En chemin, rien qu’à 6km de la maison, j’ai fait une première pause obligatoire sur la colline qui sépare Mont d’Astarac de Sariac Magnoac : le Pic du Midi de Bigorre me souriait. Il est tellement rare de voir les Pyrénées si clairement à cette heure là de la journée d’où je vis ! Je me suis alors réjouie un peu plus de mon escapade, à l’idée que j’allais longer ce magnifique paysage tout au long de mon trajet.



 

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J’ai fait une seconde pause obligatoire à 11 km de la maison : la jauge du carburant était au plus bas. C’est là que j’ai compris pourquoi certaines femmes n’aiment pas faire le plein : le pistolet à gazoil, des fois, ça joue au lama et ça crache et il s’en est fallu de peu pour que je pourrisse mes bottes, mes collants et ma jupe.



J’ai repris ma route, me dirigeant vers Lannemezan et je ne sais pas pourquoi, j’étais certaine d’avoir oublié quelque chose de primordial… MAIS OUI LE DEODORANT ANTI TRANSPIRANT DURANT 48H ! Trop pressée de partir j’avais zappé les bonnes habitudes ! Et parce que la Wawaa est une sacrée bestiolle, elle transpire beaucoup, même en hiver ! Horreur, malheur ! Vision cauchemardesque à l’idée d’avoir d’immenses auréoles pas glamour sous les bras ! « Il faudra rester les bras serrés au corps ma petite, ou ne pas lever les bras, ou t’acheter un pull tout neuf sur place ».



Comme réfléchir ou conduire, il faut choisir, j’ai opté pour faire une troisième pause obligatoire à 35 km de la maison dans un supermarché pour l’achat d’un déodorant. J’ai pu ainsi procéder à un spectacle de toute élégance sur le parking : l’application de déo bille.



C’est en m’appliquant avec grande minutie et délicatesse le fameux déodorant censé tenir 48h que j’ai pu voir encor, et cette fois-ci de plus près, le Pic du Midi de Bigorre ainsi que la Montagne en forme de Pyramide juste à côté et dont j’ai eu su le nom à un moment donné de ma vie et que j’ai oublié. Quelle merveille !



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Je suis remontée dans la voiture plus sereine et j’ai repris la route de Pau. Et Pau c’est beau. 1h plus tard, à 14h, j’y étais. Je devais me rendre sur la place du Foirail, mais je l’ai ratée, évidemment et je me suis retrouvée au parking souterrain de la république. Mais ce n’était pas bien grave car j’avais un plan dans mon sac et 4h30 pour trouver le restaurant l’Aguazil sur la Place du Foirail où se devaient se dérouler les délibérations du concours !



Je me suis garée, donc , au second sous-sol du parking de la République, à la place numéro 2032… 32 comme le Gers…c’est si fou ! Et en sortant de la voiture, j’ai cherché comment, à pied, sortir de dessous la terre. Comme je suis du genre très étourdie, j’ai tourné un moment, puis j’ai vu un panneau vert lumineux « Sortie Piéton ». Enjouée , j’accours, je vole ! Et je suis repartie illico car l’accès était condamné à cause de travaux et je ne voulais pas tomber ou me prendre un morceau de marche ou de rampe sur le coin du crâne. Je voulais JOUER AU JURY MOI, donc ce n’était pas le moment de faire un tour aux urgences.


« Bah ? C’est grand ce parking – me suis-je surement dit à ce moment là – on peut pas en sortir ou quoi ? C’est un parking farceur ? On y entre mais on n’en sort pas ? J’espère qu’il y a à manger au moins ! Je vais quand même pas remonter le couloir incurvé d’où arrivent les voitures ? Trop dangereux et JE VEUX JOUER AU JURY MOI ! »



Et là, la révélation fût. Je trouvai une sortie et je retrouvai l’air, la lumière, la vie… Je pris alors mon plan que j’avais en sortant de la voiture soigneusement plié en quatre puis violemment enfourné dans ma poche de veste. Après une brève analyse des pancartes de rue, j’en ai conclu que si je remontais la rue Carnot, je devais trouver la place du Foirail sur ma gauche. C’est bon de se sentir presque intelligente quand même !



Et puis j’ai vu une direction « Château ». J’hésitais entre aller vérifier tout de suite si j’étais pas loin du lieu de rendez-vous, ou aller de suis me balader vers le château. J’ai regardé l’heure. 14h05 et j’ai décidé que, comme je n’étais apparemment pas trop idiote et que je savais lire un plan, j’allais d’abord jouer les exploratrices ! Après tout j’’étais venue plus tôt pour ça !



Je partis donc vers le château, pressée de le voir, guettant les panneaux indiquant sa direction. Les rues étaient jolies.



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Je me suis retrouvée nez à nez avec une cathédrale avec deux tours transperçant le ciel bleu. J’y suis entrée très brièvement puis je suis repartie à la conquête du château de Pau.



 

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C’est là que j’ai eu la chance de tomber sur la Place Reine Marguerite qui arborait encore les décorations de Noël. Un peu plus loin, au fond d’une rue sur ma gauche, un long clocher pointu semblait s’imposer fièrement.



 

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En face de moi, commençait à apparaitre ce qui ressemblait à une tour de château. Les bâtiments étaient autour de moi tous surprenant. Je laissai derrière moi le clocher et j’entrais dans un quartiers qui commençaient à prendre des allures médiévales. Mais où étaient les preux chevaliers sur leurs fiers destriers ?



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Faute de chevalier à photographier parce que mine de rien le temps de ces derniers est révolu depuis quelques siècles, je me suis rapprochée du château. Émerveillement continuel. L’architecture, les jardins, le donjon, les tourelles, la cour intérieur, la façade, tout resplendissait.



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En face dudit château une tour très carrée, qui devait avoir un rôle défensif, et une ribambelle de jolies maisons que j’ai osé supposer être les logements dans lesquels vivaient les serviteurs du château, rendaient le site encore plus beau.



 

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J’aurais pu visiter le château, mais je savais que j’allais y trainer longtemps longtemps ! Alors je me suis promise de revenir rien que pour lui une autre fois. Je m’en suis éloignée, laissant derrière moi pont, donjon, tours et créneaux.



 

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J’avais sur ma droite une imprenable vue sur les Pyrénées , dont une dent nette, surgissant, sur laquelle je ne savais pas du tout mettre un nom ?  Tourmalet ? J’ai eu réponse hier grâce à un SOS lancé sur Facebook pour me sauver de mon ignorance. C’est en fait le Pic du Midi d’Ossau car il domine la vallée d’Ossau tout comme le Pic du Midi de Bigorre domine la Bigorre, no ? (pardon pour le jeu de mot, c’était incontrôlable ! ).


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Sur ma gauche un grand bâtiment aux balcons multiples et aux quatre tours pointues était tout à fait impressionnant. Un peu plus loin, j’ai retrouvé l’église au long clocher que je voyais à présent sous un autre angle.



 

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Je suis arrivée au bord d’une grande terrasse dont le décor centrale était composé d’un peu de verdure d’un petit monument. J’ai voulu m’en approcher mais mon attention a encore été détournée par les blanches montagnes à l’horizon !


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Je m’en suis allée vers la gauche, vers un joli kiosque à musique. J’ai tourné tout autour en sautillant puis je m’en suis éloignée tranquillement, slalomant entre les pigeons qui semblaient autant flâner que moi…



 

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Il fallait que je commence à rebrousser chemin car cela faisait déjà une heure que je marchais dans une ville que je ne connaissais pas et ce n’étais pas le moment de me perdre car JE VOULAIS JOUER AU JURY MOI ! Après avoir vu l’hôtel de ville, j’ai tenté de retrouver mon chemin.



 

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Un petit coup d’œil et voilà une tour de la cathédrale qui surmontait les toits de la ville. C’était simple, c’était tout droit.

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J’ai retrouvé le parking de la République et j’ai décidée, toujours armée de mes deux pied , d’aller voir où se trouvait la place du Foirail. A 15h15 j’y étais. Et comme il y avait un parking pas trop plein je me suis dit « Comme j’ai le temps, je vais déplacer ma voiture ici ». J’avais repéré le moment où il fallait que je tourne à gauche en direction de « Tam Tam théâtre ».



Je suis donc retournée vers ma voiture. Après avoir payé, je suis descendue au sous sol pour retrouver la place 2032 et là une folle aventure a commencé. J’étais incapable de me diriger. Je trouvais les places en 2100 en 2200 en 2300… je tournais en rond. J’avais le ticket de sortie dans les mains, je le regardai et il m’a dit un truc du genre « Le temps pour sortir du parking est limité après encaissement ». Rien de plus. Il ne me dit pas « Vous avez  10, 15, 20 minutes pour sortir », non, il me disait juste que le temps est limité. Il ne dit même pas qu’il va s’autodétruire. Trop nul. Le problème c’est que cela faisait bien 10 minutes que je tournais en rond…enfin plutôt en rectangle vu la forme du parking. Je désespérais quand soudain j’ai aperçu le cul de ma voiture. Alléluia. J’ai rejoint la place du Foirail. Il est 15h35.



Et là c’est le drame. Je me suis vue. Je me suis vue dans le rétro, moi et ma coiffure d’épouvantail digne de faire fuir les corbeaux les plus téméraires à l’autre bout de la planète. Je ne comprenais pas, pourtant, je m’étais fait un superbe brushing raté avant de partir avec mes longs cheveux plein de nœuds !



Mais il y a des jours où le destin vous sourit. J’ai tourné la tête et sur la gauche surgit UN SALON DE COIFFURE. Et comme ça faisait quelques temps que je me torturais d’un « Couper mes cheveux or not couper mes cheveux that is the question ? », je me suis dit (ndlr : oui, je me parle beaucoup à moi-même et alors, ça vous arrive jamais à vous ? ) « Chers cheveux, votre heure a sonné ».



Je suis entrée, y’avait de la lumière, des brosses à cheveux, des séchoirs à cheveux, des mémés avec des bigoudis, des jeunes avec des coiffures dissymétriques à la mode que j’aime pas du tout et surtout des coiffeuses. J’ai réussi à avoir un rendez-vous pour 16h45 en précisant « Faut que je sois sortie à 18h30 ». « Pas de problème » qu’on m’a répondu en souriant.



En attendant l’heure du rendez-vous, je suis partie lécher les vitrines d’une grande rue commerçante. Puis à 16h40, je suis revenue au salon de coiffure. « Dites dites vous avez des toilettes ? » dis-je sur un ton pressé. Après un petit passage chez canard, on se sent tout de suite mieux. J’ai eu droit à un shampoing avec massage, voilà mon crâne ZEN, une coupe, un brushing, un lissage (je vous raconterai plus en détail ce trépidante moment avec la coiffeuse sur Un peu de tout et de rien bientôt ! ). A 18h j’étais dehors et bien coiffée. La classe quoi !


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(oui bon là, j’ai fait la photo en rentrant tard dans la soirée donc j’ai des poches sous les yeux, donc ça fait moins classe ! )


J’ai réinvesti ma voiture. J’avais l’impression de crever de froid. Pau c’est beau, mais le 22 janvier, il y fait froid !  J’ai démarré mon auto et j’ai mis le chauffage à fond ! J’attendais patiemment 18h30 pour me rendre juste à côté, à l’Aguazil et la demi heure est passée très vite puisque mon téléphone a sonné.



A 18h28, je suis sortie de la voiture. J’ai poussé la porte du restaurant. Personne n’était là. Beuh, euh, hé ? Houhou ? Le doute soudain m’habitait. Etais-je au bon endroit ? J’attends un petit moment et tout à coup LN, la madame qui travaille à la Fondation Crédit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne que j’avais déjà rencontrée, débarque ! Ouaiiiis, c’était là ! J’entre avec elle dans une petite salle et je dis bonjour à plein de gens, dont Lionel et Dams que je ne connaissais que via le site Parlons-Jeunes et Facebook. L’ambiance a l’air joviale. Les autres personnes du Jury arrivent peu à peu. Je suis un peu intimidée moi, parce qu’au fond, je suis une grande timide, alors je sirote mon jus d’orange en répondant aux questions qu’on me pose. Ils sont gentils tous ces gens dites donc ! Je les aime bien !



Et vous savez quoi ? Y’avait à manger ! Tout plein ! Un peu trop ! Je suis au régime moi bordel ! C’était bon ! Il y avait une chaleur humaine et une convivialité que j’appréciais beaucoup et je reconnaissais là bien l’esprit gascon que j’aime tant. J’étais la seule fille du jury ! Même pas la possibilité de faire des coalitions du genre « Solidarité féminine ». Regardez, c’est moi, là, à droite sur la photo, vous avez vu comme je suis belle quand je suis concentrée, hein ?



 

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L’humour, il y avait beaucoup d’humour, ce qui me rassura, car certains faisaient des blagues aussi pire que les miennes…enfin je veux dire aussi drôles que les miennes !



Nous avons choisi catégorie après catégorie les lauréats. Un choix difficile à faire, car même si  des vidéos se démarquaient des autres, j’étais très admiratives des efforts et des résultats fournis par tous les participants qui ont fait tous et chacun un travail extraordinaire. Mais c’est un concours et il fallait choisir.



Très impartialement, dans chaque catégorie, chaque jury a désigné son trio de tête, discuté , argumenté, et les résultats sont tombés.



Dans la catégorie Innovation, c’est la vidéo Incendie qui remporte le prix. Une courte vidéo certes, mais pleine d’originalité, de créativité, de mouvements et de couleurs et qui en plus a été tourné dans le Gers : on y aperçoit à un moment les trois portiques de la cathédrale d’Auch et la campagne ! Un prix bien mérité pour une vidéo qui allie plusieurs talents : danse, art picturale et mise en scène !



Dans la catégorie Sport, c’est la vidéo VTT Street Trial, qui par sa vidéo impressionnante par les performances techniques et sportives réalisées par le cycliste nous fait visite la ville de Ciboure.


Dans la catégorie Développement durable, c’est la vidéo L’Ordure de l’espace qui remporte le prix : le scénario est très drôle et très bien trouvé et les graphismes sont épatant, on voit même passer nos Pyrénées en arrière plan !


La vidéo Ecolofuturo remporte le prix du vote des internautes avec une idée très bien trouvée et non sans humour : un voyage dans le temps pour prendre conscience des conséquences du réchauffement climatique dans un avenir plus ou moins lointain !




Et enfin, le prix spécial étudiant a été remporté par une excellente vidéo que je ne me lasse pas de regarder : La Grande Evasion où des personnages en pâte à modeler tentent de s’évader de la chambre de leur créateur. Une formidable mise en scène, un talent inouï, un travail extraordinaire, un résultat épatant !




Tous les lauréats ont remporté la somme de 1500 euros et le prix spécial étudiant a fait également gagner 1500 euros à son école !



Pour en savoir plus sur les délibérations, voir les vidéos, découvrir les auteurs et le nom des lauréats et entendre leurs réactions à chaud, rendez-vous sur http://www.parlons-jeunes.com/?p=1135 (à la fin de la bande son, oui c'est moi et oui je sais pas dire "félicitations" sans bafouiller ! Mais j'assume hein ! ).





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Bref, vous l’avez compris, Pau, c’est Beau, et le concours internet Céça vidéo aussi ! Tout était dans le titre en fait !

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